Eli ⌂ “I've always had a strange fear of spoons.”

“I miss the taste of a sweeter life. I miss the conversation. I’m searching for a song tonight. I’m changing all of the stations. I like to think that, we had it all. We drew a map to a better place. But on that road I took a fall. Oh baby why did you run away ?”

Caractère & Physique

Elijah est aussi quelqu'un de très, très, très rigoureux, dans tous les sens du terme , sur les ordres, tous les types d'ordres , et quand il dit quelque chose, il aime bien être obéï, dans tous les sens du... /SBLAF/. Hrm. C'est un tempérament d'alpha dominant, dans toute sa splendeur. Si vous le respectez, il vous respectera sans problème, mais si vous ne le faites pas... Il fera en sorte que vous le fassiez le plus rapidement possible, sous peine de vous pourrir la vie très méchamment. Notre jeune Alpha a plusieurs aspects dans sa personnalité. Il peut passer de doux comme un lapin à féroce comme un ours (littéralement, en fait); de humble à arrogant; de conciliant a sassy et de gentil a très, très, très, trèèèèèèès méchant. Comprenez que Eli a une certaine tendance a la bipolarité, qui reste mineure, pour sur; et il faut grandement y prêter attention pour la remarquer, mais c'est présent. Tout cela a été causé par sa transformation plus que précoce, qui n'a rien fait de bon. Vous comprendrez pourquoi après.
Petit ours brun a une tendance a la sur-protection, il... étouffe presque les gens a qui il tient, considérez donc sa mère, Hazel, Euan, son très cher Bêta ET TOUS LES GOSSES DU CLAN; ce qui fait un putain de groupe de petits, au point de devenir violent si on touche a eux. Vraiment violent. Lors d'une attaque d'un groupe d'Ailés sur le clan il n'y a pas si longtemps que ca, Winny the Pooh a défendu les maternels. Heureusement que les petits étaient a l’intérieur, parce qu'il y avait beaucoup, beaucoup de sang. Ce n'était pas la chose la plus jolie qu'il ai réussi a faire... Bref.
Il n'y a pas grand chose de plus a dire sur sa personnalité. Elle est changeante comme un climat breton, et il faut faire avec.

Niveau physique. Bon. Ne nous mentons pas, Eli est bien roulé. Un mètre quatre-vingt sept, 80 kilos de muscle, et UN CUL PUTAIN. Hrm. Nounours est large d'épaules, possède un torse bien musclé, un 6-packs, et une V-line bien, bien dessinée. Mesdames et Messieurs, contenez vos orgasmes. (non, pas la peine de demander, je ne vous direz pas la taille de sa matraque.)
Son visage est plutôt carré et ses cheveux sont bruns avec quelques reflets dorés. Il possède une mâchoire avec laquelle on pourrait couper des carottes tant elle est dessinée, et cette dernière est souvent décorée d'une barbe d'une semaine, parce que, voilà, flemme. Ca repousse vite, en plus.  Ses yeux sont d’une couleur noisette profond, comme son père, c’est une couleur un peu chaude, prenante. On s’y perd souvent, je ne vous le cacherais pas. Ses yeux disparaissent presque quand il rit, c’est plutôt drôle de le voir se transformer en chinois de temps a autre. D'ailleurs, en parlant de rire, Eli est du genre a être plutôt sérieux tout le temps, et donc a avoir une pokerface présente et récurrente sur le visage, mais ne vous inquiétez pas, ca peut être terriblement sexy des fois.

crackle bones

Storytime

Sursauter, bailler, s’éveiller, entendre son père rentrer a la maison, l'entendre hurler sur maman, et maman qui lui répond, papa qui repart, et finalement, de petits pleurs, ceux de maman. Ca me faisait bizarre de l'entendre comme ca, ca me faisait...mal ? Parce que c'était ma maman, et qu'elle était forte pour mon papa, pour élever le bout de chou de quatre ans que j'étais avec le sourire, même après que Faith avait disparu. Faith. Ma grande sœur, que l'on n'avait jamais retrouvée après qu'elle soit partie dans la forêt. J'étais sur qu'elle était toujours là, a vivre dans un grand chêne couvert de mousse, avec plein de petites créatures, et un ruisseau en contre bas. Elle avait neuf ans quand j'étais né, et papa n'était pas son papa... Mais c'était ma grande sœur, et je me souvenais l'adorer. Elle était si ...si elle. Gentille. Attentionnée, douce, et elle adorait me donner le biberon, et me donner des bains, et me changer... Elle m'emmenait souvent dans les bois avec ma grand mère, qui cueillait des fleurs et autres pour faire des décoctions, des crèmes, potions, antis venins... Ma grand mère était, et est toujours, une Shaman, du type le plus badass qu'il soit. Mais passons.
Maman pleurait toujours quand je l’entendais remonter dans sa chambre, et je décidais de la rejoindre… peut être que papa avait un problème ? Je voulais savoir, même si on me répétait souvent que la curiosité était un vilain défaut. Je sortais donc de les couvertures, mon grand doudou renard dans les bras, et me dirigeai vers la chambre de maman, a pas de loup, essayant de ne pas faire grincer l’escalier et de réveiller grand-mère.

« Mama… ?A peux venir avec toi… ? ‘Arrive pas a dodo… » Je serrais mon renard en peluche contre moi, cachant mon visage avec ses poils roux. J’avais peur de la déranger… Mais je voulais dormir dans les bras de ma maman… Elle sentait la vanille ma maman, et aussi l’amande, et c’était tellement réconfortant…
« Viens là mon cœur, maman vas te bercer… » Je venais donc me réfugier dans ses bras, alors qu’elle m’entourait dans une couverture en polaire, il ne faisait vraiment pas chaud en ces temps d’hiver, et vu que maman préférait dormir dans le froid…
« Mama… Pourquoi tes yeux sont mouillés…? » Demandai-je, levant les yeux vers ma mère qui soupirait un peu et clos ses paupières, comme face a un dilemme. M’avouer que mon père devra encore une fois partir pour quelques semaines en campagne ou me dire que c’était a cause du froid et qu’elle était restée quelques temps dehors dans la neige pour observer le ciel ? Elle savait que si je demandais cela, c’est que j’avais entendu. Elle n’était pas dupe.
« Dada va devoir aller faire une longue promenade… » Elle se mordait doucement la lèvre inférieure, pas assez pour que je le vois mais assez pour que je ressente un petit malaise,  et que je baisse la tête. J’avais compris que je ne devais pas trop insister.
« Dodooo… je veux faire dodo Mama… » Karma, ma mère, sourit et m’embrassa le front, avant qu’elle ne se couche dans le lit, plaçant les couvertures sur nous. J’étais contre elle, mes doigts accrochés a son pyjama, glissant dans un profond sommeil plein de rêves de ma grande sœur.



Amie. C'était peut être un mot approprié pour décrire la relation entre Hazel et moi. Ce n'était pas sûr, tout de même. Nous nous connaissions un peu, mais je n’étais pas du genre bavard, cela n'avait jamais été dans ma nature, depuis que Faithie était partie. Je  l’appréciais profondément, Haz, mais ne savait pas vraiment comment elle me percevait. Ami ou simple connaissance ? Elle, était entourée d'amis, connaissait tout le monde personnellement, et les gens l'aimait bien, mais en même temps, elle était toute petite... Et moi, qui connaissais tout le monde, leurs noms, leurs caractère, la façon de réagir de ces personnes, mais je le savais grâce a l'observation, et a ce qu'Hazzy disait. Et, les enfants de mon âge avait tendance à m'éviter, où a venir me voir pour lui demander ceci ou cela; par pur intérêt. Enfin, c'est ce que je pensais. Donc Hazel était peut être ce que je pouvais considérer comme une amie.

« Aller Hazzy, viens, tu m'as dis que vous n'aviez plus de bois chez vous. J'en ai marre de dessiner, ca fait deux heures que je suis en train d'essayer de faire ton nez et y a rien qui ressemble a toi, on dirait une patate... Debout et met ton manteau chaud, il fait encore froid, on va aller se dégourdir les jambes. » Dit-je, posant mes crayons de bois (heh) sur la table ou ils étaient depuis plusieurs heures, essayant de se dessiner les visages l'un-l'autre. Enfin, de dessiner son visage, alors qu'elle... Gribouillait, du haut de ses trois ans.

Je me levais et pris ma veste en cuir doublée de fourrure à l'intérieur, sautant dans mes bottines de la même matière que ma veste. Je tendais la main à  la blondinette aux yeux bleus, attendant qu'elle finisse de s'habiller. Elle la prit et la tenait fermement alors que l'ont sortit dans la neige et la température glaciale. Mais heureusement, le vent était tombé. Je me retournai vers Haz et ajusta son bonnet sur sa tête, dégageant les mèches blondes tombant sur le visage de la petite de 5 ans. Je sortais un bonnet gris de ma poche et cacha mes cheveux bruns avec, il faisait tellement froid... Mais le spectacle les flocons de neige ressemblant a du coton, je ne l'aurai raté pour rien au monde. Nous traversions le camp main dans la main, se dirigeant vers la forêt. Rapidement, nous nous enfoncions entre les arbres, et nous mirent a récolter des branches de-ci de-là.

«  J'ai hâte qu'on soit au printemps, on va pouvoir faire de la cueillette, et il y aura plein de nouvelles naissances, et tu pourras enfin aller a la cascade parce que tu auras 6 ans et...
- Winny...
- Hazzy, je t'ai déjà dis de pas m'appeler comme ça je detes... » Je m'étais retourné en parlant, et vis pourquoi elle m'avait appelé ainsi. Elle avait voulu attirer son attention. Parce qu'un Changeforme Loup, boiteux et enragé se tenait devant elle, menaçant.  Je lâchai doucement tout ce que j'avais dans les bras et mordit mes lèvres. Je n'avais pas pris de couteau, et m'en voudrais toute sa vie si quelque chose lui arrivait, vu qu'un maternel me l'avais confié pour l'après midi... L'autre banda ses muscles, prêt à bondir.
Tout se passa comme au ralentit. Une rage imprenable me pris le ventre, et je me sentais changer, mon corps entier reçut comme une gigantesque décharge électrique, comme si il venait de se faire frapper par la foudre, c'était tellement douloureux, j'avais l'impression que j'allai exploser de l'intérieur. Je me sentis grandir, prendre de la force et du poids, et chaque muscle de son corps se contracta pour bondir sur le loup. Je choppais le cou du loup qui émit un craquement sinistre, enfonçant ses crocs dans la chair de l'animal. L'autre essaya de se débattre, mais mourra bien trop rapidement sois la force de ma mâchoire d'ours. Je recrachai le corps inerte du loup, et regardais mes pattes ensanglantés. Mes poils étaient d'un châtain doré resplendissant, quoique taché de sang. Mes griffes étaient d'obsidienne, et certainement tranchantes comme des rasoirs...
Je me retournais vers la petite fille, dont j'entendais le souffle erratique, apeuré, et essayais de lui dire que tout allait bien, que c'était moi, Eli, son Winny, son... ami ? Mais tout ce que je réussissais a sortir était des grognements, qui la fit fuir.


Ce champ de bataille. J'aurais voulu l'effacer de ma tête. A tout jamais. Ne plus voir les cadavres des miens. Ne plus voir le sang imbiber la terre, ne plus entendre les gargouillis des agonisants. Je voulais partir, c’était fini, nous avions gagnés, mais a quel prix... Les ailés nous avaient surpassés par des attaques en plein vol, nous lâchant nombre de caillasses et explosifs sur nos troupes. Ils nous eurent dépassés en nombre après cette attaque ; notre rage de vaincre, et le fait que nous réussirent a décimer une grande partie de leurs troupes au sol nous aida grandement, au point où ils durent se replier.
Après avoir fait une dernière victime.
Etham. Mon père. Sa tête sur mes genoux, baignant dans son sang. J’avais déposé des mains tremblantes sur son visage livide. Ses poumons étaient perforés, une de ses jambes brisés, une partie du cou ouverte en une plaie béante, mes mains étaient couvertes de son sang, j’avais essayé d’arrêter l’hémorragie, en vain. Rien n’y avait fait, même essayer d’appeler la Shaman. Elle ne serait jamais là a temps, elle n’était pas arrivée a temps de toute façon. Il était parti, glissant quelques mots en crachant du sang.

« Eli… Je veillerais sur toi… toujours… Ce n’était que la première bataille… Ils ne sont plus seuls…. Reste…Reste fort p…pour ta mère… » Et dans un dernier toussotement, il rendit l’âme, sa main fermement ancrée dans la mienne.

J’avais simplement pleuré, serrant son corps sans vie contre moi. J’étais tremblant, j’aurais pu massacrer tout ces piafs uns a un, j’aurais pu retourner cette foutue planète avec la seule force de mes bras, tant j’étais énervé, bouleversé, et profondément triste. C’était même plus profond que la tristesse. Je venais de perdre une partie de moi. J’avais perdu mon père. J’aurais pu le protéger, j’aurais pu faire quelque chose. J’avais espéré en le voyant me sourire doucement que ce n’était pas si grave, mais quand ses poumons eurent décidé de lâcher le sang qu’ils contenaient en eux… J’avais su. J’aurais pu faire quelque chose, je le savais… J’avais une boule au fond de la gorge, alors que les guerriers du clan se rassemblaient autour de nous… Et le Beta, Jon, s’accroupit a côté de moi, les yeux injectés de sang et la main tremblante, qu’il posa sur mon épaule.

« Elijah… Il faut le ramener aux Trois forêts… Il faut que le camp sache… » Je me mis a pleurer que plus fort, m’accrochant a la dépouille.
« Il…Il aurait voulu que tu-tu sois l’Alpha…. » Lâchais-je, la voix aussi tremblante que mon corps.
« On abordera le sujet plus tard Eli… Il faut se lever et le faire rentrer a la maison, d’accord ? » Je me contentais de hocher la tête, laissant des hommes peu-blessés le soulever et le transporter jusqu’au village, alors que le Beta-désormais-Alpha-temporaire m’aidais a me relever.

Mon dos était lacérés de griffures d’un aigle, j’en garderais des cicatrices ; mes bras étaient couverts de sang, du mien, de ceux des ennemis, et de celui de mon père… ; mon ventre était ouvert au niveau des cotes, j’avais perdu beaucoup de sang, et m’écroula pendant la route, ne me réveillant chez le guérisseur quelques longues nuits plus tard, ma mère a mon chevet, qui pleura toutes les larmes de son corps quand j’ouvrais les yeux, me serrant fort dans ses bras, au point de faire sauter les points de suture dans mon dos. Mais je m’en fichais, cela faisait du bien de savoir que quelqu’un était là, ici, tout près, qui te soutenait.
Mon père n'était plus de ce monde.


Pas. Sympa. Du tout. Du tout. Mon dieu. BONJOUR JE ME RÉVEILLER ON M'ANNONCE QUE NOTRE GUÉRISSEUR EST EN TRAIN DE CREVER. Nope. Il était peut être, c'est vrai, un peu vieux. Et avait dépensé beaucoup d’énergie à soigner les malades et les blessés récemment, nous avions eu beaucoup de maladies a cause du temps... et la dernière bataille datait de moins d'une semaine. Notre très cher grand père avait eut beaucoup de mal a supporter. Et maintenant... Merde. Je sautais dans des affaires, passant une main sur mon visage et me mis à courir vers sa maison. Je me réveillais, et plus je me réveillais, plus je sentais sa douleur au niveau du cœur, et celui-ci s'affaiblir. C'était critique. Je poussais les gens autour de lui pour me mettre a genoux a côté de lui, attrapant sa main en essayant désespérément de lui donner de l’énergie pour continuer a vivre. Il serra un peu mes doigts, comme pour me dire que ce n'était plus la peine d'essayer. Je ne voulais plus d'un autre mort. Il y en avait eu bien trop ces derniers temps. Je sentais doucement son énergie disparaître, se transmettre a quelqu'un... Loin. C'était loin. Mais familier, étrangement. Comme si… Comme si je connaissais intimement cette personne. La pression sur mes doigts avait faibli de plus en plus alors que l’énergie croissait ailleurs. Son cœur c’était éteint, je l’avais senti. Ca faisait affreusement mal, mais en même temps, une nouvelle connexion se créait et c’était… Doux, tendre, juste… Comme ces souvenirs heureux d’enfance. Ceux doux, dans la neige…
Soudainement, ma tête commença a me faire terriblement mal,  en crescendo, jusqu’à me donner un mal de tête. Foutue connexion. Elle essayait de se faire toute seule, sans que je le veuille. Elle cherchait, elle cherchait partout l’Autre. J’étais dans un état pas possible, tremblant, les mains accrochés au montant du lit, toujours a genoux. Ca faisait un mal de chien bordel.

« Beta ! Vous prendrez la gouverne du clan jusqu’à ce que je sois revenu ! Notre nouveau guérisseur est… est… Putain ! C’est une fille ! » J’avais serré les dents, alors que son visage apparaissait dans ma tête, une petite tête blonde, aux yeux que je connaissais bien. Hazel. Ma Hazel. Bordel de merde. Elle… Elle avait disparu de ma vie il y a tellement de temps.. Et maintenant… Maintenant elle était devenue une personne dans ma tête, qui savait me parler, a qui je pouvais parler. « Hazel…Hazel Galatea Fawkes. La fille d’Henry Fawkes ! Le cerf blanc. POUSSEZ-VOUS ! » Je m’étais levé en trombe, me raccrochant au premier mur venu.

« Vous organiserez les funérailles ce soir, je pars demain a l’aube retrouver notre nouvelle Guérisseuse. Soigneurs, vous vous occuperez des malades du mieux que vous pouvez, n’hésitez pas a appeler les apprentis, cela ne ferra que du bien a leur formation. Faites en sortes de renforcer les gardes autour du territoire, nous sommes plus faibles sans Guérisseur, et les enflures plumés le savent très bien. Exécution ! »
J’étais sorti, laissant les soigneurs prendre soin du corps, et laissant soin aux lieutenants d’informer le clan de notre perte. Je m’enfuyais vers ma maison où ma mère et ma grand-mère étaient, et me mis a gratter notre grande table en bois massif, passant mes nerfs et réfléchissant. Hazzy. Ma toute petite Hazzy. Que j’avais effrayée comme jamais lors de ma première transformation. J’en faisais encore des cauchemars et … Ce n’était pas le loup que je tuais, mais elle… Et ca me faisait tellement peur… J’avais peur de lui faire mal si elle revenait. De lui faire peur encore une fois, de la perdre encore une fois.

Après l’enterrement, je partais me coucher, incapable de faire autre chose. J’étais un nervous wreck. Trop d’emotions en une journée. Et un certain stress aussi. J’avais envie de la revoir mais aussi je voulais l’oublier. Oublier ce moment de mon passé. Parce que je savais qu’a chaque fois que je la verrais, je penserais a cela, et aussi a ô combien j’avais merdé mon enfance a cause de cela. D’à quel point j’étais devenu une personne renfermée et sèche, par peur de laisser quelqu’un se rapprocher trop de moi et de le blesser, encore. J’avais peur de faire mal. C’était paradoxal pour un change forme grizzli, qui était de plus un Alpha.
Mais il fallait le faire. Il fallait que je retrouve ma toute petite Hazel.

crackle bones

Come at me bruh